Nous irons tous à Tahiti

Une monographie polynésienne

Cet ouvrage réuni une centaine d’originaux sur le thème de la Polynésie.

Ces dessins et peintures font l’objet d’une grande exposition à la Corderie Royale de Rochefort, du 6 janvier au 26 Mars 2016.
Le livre est produit à compte d’auteur avec financement participatif et le soutien du collectif Café Creed.
Maquette France Chervoillot
112 pages couleur. Couverture cartonnée avec papier délicat. Tirage limité 500 ex. Format 30, 5 x 24,5 cm. ISBN 978-2-84493-075-0 Prix public : 25 €

Vous pouvez commander le livre et ses nombreux Ex-libris en adressant un chèque (contact par message privé). La présentation de l’ouvrage ainsi que les Ex-libris disponibles sont visibles en suivant ce lien.

livre-Tahiti

Patrice Cablat séjourne à Tahiti de 1997 à 1998, où il explore la culture polynésienne et participe à des publications documentaires et ethnographiques.
Malgré son retour prématuré en métropole, il garde passionnément le contact avec la Polynésie, notamment à travers ses livres illustrés pour les éditions Au vent des îles.

Ex-libris

Format 21 x 29,7 Papier Naturel 300gr Numérotés, signés, tamponnés, Patrice Cablat 2016
Prix de vente 10 €

Cablat.15

Ex-libris N°1 & N°2

Cablat.20

Ex-libris N° 3

Cablat.18

Ex-libris N° 4

Ex-libris N° 5

Ex-libris N° 5

p57.06rochefort.teasing

Ex-libris N° 6

Bibliographie polynésienne

La Légende de Marukoatexte de Tumata Robinson. Éditions Au vent des îles, 2013
Histoires & Légendes des Temps anciens de Tahiti et des îles. Texte de Emy-Louis Dufour. Éditions Au vent des îles, 2013
Te Patu Tiki, l’art du tatouage aux îles Marquises de P. et M.M Ottino-Garanger. Christian Gleizal éditeur, Tahiti 1999

Hayao Miyazaki

La figure du monstre dans le travail de Hayao Miyazaki

Collectif ART MONSTRE, publié par le Café Creed, janvier 2013.

ART MONSTRE est un recueil collectif de bandes dessinées initié par Thibault Balahy et produit par Café Creed. 22 auteurs y questionnent la figure du monstre dans les différents domaines de la création et ce, à différentes époques.

ART MONSTRE est un projet initié par Thibault Balahy aidé par un comité éditorial composé de Laurent Bourlaud, Patrice Cablat, Vallie Desnouël et Benoît Preteseille.
Couverture : Laurent Bourlaud – Maquette : Benoît Preteseille – relecture : Nicolas Gazeau

mes planches

La légende de Marukoa

La légende de Marukoa. Tumata Robinson & Patrice Cablat. Édition Au vent des îles, 2013

Livre illustré.
Tumata Robinson est chorégraphe et auteur pour sa troupe de 200 danseurs Tahiti Ora. En 2011 elle conçut le spectacle La Légende de Marukoa qui remporta un grand succès au Heiva de 2011. En 2012 et en 2013, la troupe de Tahiti Ora a continué de faire vibrer cette légende sur les scènes de France et d’Asie, une consécration pour la culture polynésienne et son rayonnement.
Mais La légende de Marukoa se devait de perdurer dans le temps, Tumata Robinson en a écrit un conte que Patrice Cablat a illustré. Le livre est désormais disponible.

fnac
amazon

Édition : 2013 – ISBN : 978-2-36734-007-4 – Format : 190 x 240 mm – Nombre de page : 32 – Couverture : Cartonnée – Finition : Relié cousu – Poids : 400 g – Prix public : 15 €

Édition Au vent des îles

Une île perdue dans le Pacifique. Une tribu mystérieuse. Un groupe d’êtres exceptionnels. Des histoires incroyables entourent le peuple de Marukoa. Personne pourtant ne peut en attester l’existence. Seuls des marins racontent qu’ils entendent des sons étranges à la tombée de la nuit… comme une mélopée murmurée, flottant dans l’air au coucher du soleil.Tiré du spectacle du groupe de danse Tahiti Ora, ce conte, superbement illustré, s’inspire des récits de la tradition orale.

Histoires & légendes

Histoires & légendes des temps anciens de Tahiti et des îles. Emy-Louis Dufour et Patrice Cablat. Édition au vent des îles, 2013.

Livre illustré. réédition du livre épuisé d’Emy Dufour paru en 1967 chez F. Nathan dans la collection Contes et légendes. le voici aujourd’hui en 2013  avec de nouvelles illustrations.

Édition : janvier 2013 – ISBN : 978-2-36734-006-7 – Taille : 240 x 190 mm – Nombre de page : 136 – Couverture : Souple à rabats – Finition : Dos carré collé – Poids : 400 g – tirage épuisé.

Édition Au vent des îles

Histoires & légendes des temps anciens de Tahiti et des îles. Emy-Louis DUFOUR et Patrice Cablat. Édition au vent des îles, 2013.

Il y a l’Histoire qui raconte les hommes. Il y a les histoires que les hommes racontent. Chacun à sa manière, à ses mots, à ses images, à ses gestes, à son rythme. Et quand ces histoires survivent à leur conteur, elles deviennent légendes, âme et souffle d’une famille, d’une île, d’un pays. Vives en mémoire où ensablées par le temps, mystérieuses, gaies ou mélancoliques, elles répondent aux grandes interrogations humaines : pourquoi et comment? Au-delà des terres et des mers, au creux des alizés, il y a des îles de soleil et d’océan où, bien avant l’Histoire, hommes et dieux vivaient ensemble.

Affiches & posters

Visuels pour événements culturels: affiches imprimées, sérigraphiées.

Nos Guerres

Album Nos Guerres. David Benito (texte), Laurent Bourlaud (dessin), Patrice Cablat (couleur). Éditions Cambourakis, Oct 2010.

Nos guerres, un roman graphique de  David Benito (texte), Laurent Bourlaud (dessin), Patrice Cablat (couleur) paru le 10 Octobre 2O1O aux éditions Cambourakis.

l’histoire :

Roman graphique choral, Nos guerres fait entendre un ensemble de voix écrasées par la guerre industrielle et moderne, une guerre jamais nommée précisément, mais proche de la Première Guerre Mondiale.
Dix récits se succèdent, d’une grande diversité de points de vue, qui tous réduisent à néant les illusions sur l’héroïsme guerrier : de l’officier aristocrate contraint à des actes qui lui répugnent au troufion perdu dans le labyrinthe des tranchées en passant par le paysan pris en tenaille par les champs de bataille, c’est toute l’absurdité cruelle de la guerre qui s’exprime dans ces courts récits.
Chaque histoire est dessinée et mise en page différemment, en adéquation avec le discours, le niveau social, les références picturales que le texte peut évoquer. Le traitement graphique fait référence tantôt aux avant-gardes, tantôt au dessin de presse ou aux débuts de la bande dessinée, mixés parfois avec des éléments beaucoup plus modernes.
Cette vision kaléidoscopique évite tout manichéisme, et affronte au contraire la question de l’ambiguïté du rapport des hommes (et des femmes) à la guerre.
Le livre s’ouvre sur un prologue narratif, qui donne la parole à un vieil homme riche, mutilé, partisan artiste de la guerre. On peut supposer que l’esprit tourmenté de ce personnage désagréable constitue le théâtre où se déroulent les dix récits.

Postface de Thierry Smolderen scénariste et théoricien, spécialiste de l’Histoire de la bande dessinée.

Découvrez ci-après la couverture du livre et quelques planches, extraites des divers chapitres du livre :

Presse

Télérama

La Grande Guerre comme réservoir sans fond de cauchemars vécus, la bande dessinée y puise depuis toujours, et Tardi reste la référence insurpassable (lire et relire C’était la guerre des tranchées). Un trio d’auteurs quasi inconnus y plon ge à son tour avec un brio renversant. Le premier regard bute sur une structure éclatée, une mise en scène graphique hé téroclite, et tout renvoie à l’exercice de style. Pourtant, ce puzzle se révèle d’une cohérence remarquable.

En dix brefs récits, défilent un galonné mutilé qui commanda un peloton d’exécution, un poilu malade à crever d’avoir mangé du rat, une noble infirmière dont l’idéal s’effrite dans l’horreur quotidienne, deux troufions cousins condamnés à se flinguer d’une tranchée à l’autre… Autant de destins indi viduels, autant de voix déconnectées les unes des autres qui, ensemble, font une sorte de mémorial brut à l’homme con fronté au pire, dépassé, avec ses faiblesses, ses souffrances, sa révolte, sa naïveté, voire son abjection. Chacune de ces histoires est déclinée dans un style et des références picturales « d’é poque », revisitées avec une impertinente et, en même temps, très pertinente distance. Brillante idée, car l’ironie trempée d’humour noir façon L’Assiette au beurre, les trivialités à gros traits de la blague dessinée, les froides architectures « modernistes », mais aussi les déclinaisons cubiste, sulpicienne ou d’art brut dé sin tègrent tout discours moralisateur ou édifiant avec une corrosive ironie. Et traduisent à cru, de manière imparable, quelque chose d’une vérité hu maine universelle.

Jean-Claude Loiseau.
Telerama n° 3187 – 12 février 2011

Le Monde

Déroutant, inclassable mais exemplaire de l’évolution de la bande dessinée, Nos guerres est un livre époustouflant d’intelligence scénaristique et graphique, qu’il s’agisse du découpage, du dessin ou de la perspective choisie par les personnages. Protéiforme, Nos guerres est axée, comme son titre l’indique, sur le thème de la guerre, berceau générique du XXe siècle dont le rejeton surdoué et emblématique reste la première, celle de 1914-1918, « la mère de toutes les guerres ».

Les trois auteurs ne se contentent pas d’un récit linéaire ni d’un découpage classique. Dix chapitres, dessinés en pleine page ou en quelques cases inscrustées de vignettes, font parler dix protagonistes de « leur » guerre, via des textes en réserve comme c’était l’habitude en BD avant que la bulle n’apparût. Un aristocrate mutilé ouvre le bal, suivi par des cousins « germains » séparés par le conflit ; un « poilu » victime de diarrhée après avoir avalé du rat ; une infirmière de noble souche qui découvre le versant sale de la guerre ; des soldats tonkinois réchauffant sous leurs blessures les révolutions à venir ; un jeune tuberculeux qui se reproche de ne pas être au front…

Chaque témoignage, frappé d’ironie mordante, d’horreur franche ou d’humour noir, bénéficie d’un style qui lui est finement adapté. Les déliés de l’art déco font le pendant au dessin de presse façon L’Assiette au beurre, la raideur néostalinienne aux icônes sulpiciennes, le Bauhaus à l’art naïf, le tout habillé de couleurs idéalement froides ou neutres. Cette palette de coloris et de traits donne un aspect distancié à Nos guerres tout en soulignant l’absurde mais inaltérable liaison entre guerre et humanité.

Yves-Marie Labé.
LE MONDE DES LIVRES | 17.12.10

BoDoï

Ce sont des histoires de tranchées, de morts, de vies détruites, au cours d’un conflit non nommé, qui semble être la Première Guerre mondiale.

Dans Nos guerres, le scénariste David Benito raconte au fil de dix chapitres des bribes d’existences, parfois drôles, souvent tragiques. Il y a cet enfant dont le frère est mort au front, qui s’enfuit avec ses autres frères, mais connaîtra un sort tout de même fatal. Ou bien ce soldat qui détaille de façon grivoise les moeurs lestes d’une certaine Victorine. Ou encore un adolescent tuberculeux coincé dans un sanatorium, honteux de ne pas se battre…
Ces courts récits sont dessinés par Laurent Bourlaud et soigneusement mis en couleurs par Patrice Cablat. Chacun bénéficie d’une identité graphique propre, d’un traitement narratif différent. On plonge à chaque fois, sur quelques pages, dans un univers unique, tantôt art nouveau, tantôt expressionniste, tantôt naïf… On regrette parfois un format un peu trop bref, qui empêche d’embarquer totalement avec les personnages. Mais on reste saisi par la puissance que dégage cet ouvrage dense et riche.

Bd Gest’

Le titre de l’ouvrage ne laisse guère de place au doute quant à sa thématique, mais sa couverture d’une grande élégance laisse présager d’un traitement particulier. Dès le départ, les auteurs brouillent les pistes. Est-ce une bande dessinée ? Un livre illustré ? À la lecture, ces questions perdent rapidement tout leur sens. C’est un livre, ni plus ni moins, qui mêle textes et images d’une façon qui lui est propre.

David Benito, Laurent Bourlaud et Patrice Cablat font de cet album un manifeste contre la guerre, dépeignant avec justesse mais sans lourdeur les effets collatéraux des conflits armés sur celles et ceux qui y participent, de près ou de loin. Contrairement à ce qu’une préface plutôt hermétique peut laisser supposer, le propos dégage une grande simplicité, loin d’un intellectualisme que la postface, à son tour, semble prôner. Qu’importent, en fin de compte, les analyses qui pourront en être faites et la portée que peut avoir cette démarche d’auteur sur le médium, le but est de parler d’atrocité et de désillusion, de peine et de sacrifice. Au-delà d’un parti-pris formel indéniablement intéressant, alternant les styles graphiques pour rendre dans sa diversité l’émotion que dégagent les différents chapitres, la réussite de l’entreprise tient avant tout dans la pertinence de son propos. Le style relève davantage du simple exposé que de la démonstration laborieuse et laisse l’évidence du message s’installer d’elle-même, et durablement, dans l’esprit du lecteur.

Les auteurs ne tirent pas pour autant sur la corde sensible et à aucun moment les émotions ne prennent le pas sur le côté factuel de l’ouvrage, notamment grâce à la distance imposée par un dessin d’une froideur surprenante. Les mots, eux aussi, font honneur à la place importante qui leur est dévolue. Finement ciselées, les phrases s’enchaînent ; elles accompagnent les illustrations en même temps qu’elles créent un espace, une marge, entre le public et les personnages dont la vie s’offre par bribes. Les pages défilent, mais lentement. Elles se gardent de céder à l’empressement, mais invitent au contraire à une lecture contemplative.

À l’heure de refermer le livre, l’impression qui prédomine est celle d’une découverte, d’une expérience finalement peu commune. Fond et forme se répondent dans ce recueil aux multiples facettes. Entre texte et images, un équilibre s’installe : ils se complètent, mais jamais ne se fondent, si ce n’est dans un vœu d’excellence.

D. Wesel

Expositions

Cité internationale de la bande dessinée et de l’image
du 27 janvier au 30 avril 2011
Musée de la bande dessinée, salle d’actualité

Laurent Boulaud, Patrice Cablat et David Benito photographiés par Nicolas Guérin.

BoDoï en parle:
Réalisée par Patrice Cablat, David Benito et Laurent Bourlaud, la bande dessinée raconte en dix récits – drôles, tragiques ou les deux à la fois – un conflit, que l’on soupçonne être la Première Guerre mondiale. Très marqué et révélateur d’influences picturales diverses, le style graphique change à chaque histoire courte. Il se montre ici pleinement, en grand format, ce qui augmente la puissance des images.


Photos © BoDoï.

Abrakhadafi

Série Abrakhadafi, Olivier & Patrice Cablat, 2009.

Gallerie Keller, Düsseldorf, Allemagne. Série Abrakhadafi – Impressions jet d’encre 30×40 cm © Olivier Cablat & Patrice Cablat 2009.

Portraits

Portraits, groupe « Daouda & Sangha Ras » Acrylique sur papier, 2007.

Peintures pour les autres

Peintures sur toile ou sur papier, acrylique.

Cassinomagus

Illustrations pour l’identité visuelle du parc archéologique des Termes de Chassenon (16), Cassinomagus. 2009, 2010, 2011.

Èssais de reconstitution en colaboration avec les archéologues du site.
Les illustrations figurent sur des cartels ponctuant un parcourt audioguidé pédagogique à travers le site de Cassinomagus.

Chaque saison, une de ces illustration est utilisée pour l’identité visuelle du parc archéologique.

Shaolin Toutou

Poster « Shaolin Toutou contre les Puces Manchou ». Éditions Café Creed, 2010.

Pour un achat du poster envoyé par courrier postal, me contacter via l’onglet contact.
Format 70cm x 100 cm. Papier épais, 170 g. Prix: 15 €, frais de port et d’emballage sécurisé compris.

Graphisme pour la musique

Visuels pour la musique: affiches, Cd, vinyls.